Après le oui irlandais au traité de Lisbonne, le dernier espoir pour sauver la démocratie en Europe de la surenchère supranationale réside dans la résistance courageuse du président Vaclav KLAUS à ceux qui veulent l’obliger à ratifier le traité.
En gagnant suffisamment de temps (au plus tard jusqu’en juin 2010), le président tchèque pourrait ainsi permettre aux Conservateurs britanniques d’organiser un référendum en Grande-Bretagne, où la supranationalité liberticide n’a aucune chance de passer l’épreuve des urnes.
Alors, pour encourager M. KLAUS à ne pas céder aux injonctions de l’UE, mobilisons-nous en signant la pétition (en anglais) où des citoyens de tous les pays de l’UE se rassemblent pour faire barrage au déni démocratique bruxellois.